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Des difficultés pour le Naming du nouveau stade ?
24/12 - 15:15 | Il y a 10 ans
© Iconsport
Le nouveau stade des Girondins de Bordeaux devrait être livré au printemps 2015, mais certains détails n'ont pas encore été livrés, à l'image du nom. En effet, nos confrères de Sud-Ouest nous informent que les responsables cherchent une entreprise prête à débourser 39 millions d'euros sur 10 ans, mais jusqu'à maintenant il n'y a pas eu de réponse favorable. Le directeur commercial de Vinci Stadium reste pour autant confiant :
"Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps. [...] Bordeaux est la deuxième ville de France la plus connue après Paris, l'une des plus attractives. Le nouveau stade est le miroir de cette réalité, son image va faire le tour du monde."
Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps », admet, dans le quotidien régional, Cédric Girard, directeur marketing et commercial de Vinci stadium.
On sait seulement que la société Dassault, contactée, a refusé de donner son nom au stade. Mais le patron du Stade Bordeaux Atlantique veut rester optimiste et vante les qualités de son dossier : « Bordeaux est la deuxième ville de France la plus connue après Paris, l'une des plus attractives. Le nouveau stade est le miroir de cette réalité, son image va faire le tour du monde.Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps », admet, dans le quotidien régional, Cédric Girard, directeur marketing et commercial de Vinci stadium.
Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps », admet, dans le quotidien régional, Cédric Girard, directeur marketing et commercial de Vinci stadium.
On sait seulement que la société Dassault, contactée, a refusé de donner son nom au stade. Mais le patron du Stade Bordeaux Atlantique veut rester optimiste et vante les qualités de son dossier : « Bordeaux est la deuxième ville de France la plus connue après Paris, l'une des plus attractives. Le nouveau stade est le miroir de cette réalité, son image va faire le tour du monde.Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps », admet, dans le quotidien régional, Cédric Girard, directeur marketing et commercial de Vinci stadium.
On sait seulement que la société Dassault, contactée, a refusé de donner son nom au stade. Mais le patron du Stade Bordeaux Atlantique veut rester optimiste et vante les qualités de son dossier : « Bordeaux est la deuxième ville de France la plus connue après Paris, l'une des plus attractives. Le nouveau stade est le miroir de cette réalité, son image va faire le tour du monde.Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps », admet, dans le quotidien régional, Cédric Girard, directeur marketing et commercial de Vinci stadium.
Il faut être très clair sur ce que peut apporter le nom d'un stade. C'est un travail de réseau, tout le monde s'y met, même les Girondins de Bordeaux participent à la recherche. On continue, il nous reste un peu de temps », admet, dans le quotidien régional, Cédric Girard, directeur marketing et commercial de Vinci stadium.
On sait seulement que la société Dassault, contactée, a refusé de donner son nom au stade. Mais le patron du Stade Bordeaux Atlantique veut rester optimiste et vante les qualités de son dossier : « Bordeaux est la deuxième ville de France la plus connue après Paris, l'une des plus attractives. Le nouveau stade est le miroir de cette réalité, son image va faire le tour du monde.