Avocat de Benoît Costil : "Le dossier que nous avons transmis comporte des éléments probants"

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C'est sur France Bleu Gironde que Me David Boussidan, l'avocat de Benoît Costil, s'est exprimé. Extraits.

"Des attaques ont toujours lieu sur les réseaux sociaux"

Me David Boussidan : "On constate que des attaques ont toujours lieu sur les réseaux sociaux et c'est pour cette raison que nous avons décidé d'intervenir en maintenant afin de faire un point et expliquer la situation (...) Je peux vous confirmer qu'un dépôt de plainte contre x avec constitution de partie civile a été déposé il y a un peu plus d'un mois auprès du tribunal judiciaire de Paris pour diffamation publique."

"Il réfute avec force et conviction"

"Bien évidemment qu'il réfute avec force et conviction. C'est la raison pour laquelle il a engagé cette procédure pour que son honneur soit préservé. L'enquête va se poursuivre. La machine judiciaire va se mettre en route.

Mon client réfute avec force et conviction avoir tenu les propos évoqués. Il explique n'avoir j'amais eu le moindre comportement raciste envers ses coéquipiers ou envers qui que ce soit d'ailleurs. C'est la raison poir laquelle il aa engagé cette procédure pour que son honneur soit prérservé. La machine judiciaire est lancée. Le dossier que nous avons transmis comporte des éléments probants.

Il y a des choses qui sont un petit peu surprenantes dans ce dossier. C'est la première fois qu'il subit une telle accusation dans sa carrière. Jusqu'à preuve du contraire, les supporters sont des gens qui soutiennent leur équipe et qui ne sont pas là pour créer des désordres au sein de leur propre équipe."

"Qu'est-ce qui a motivé une personne à prendre le micro et à porter de telles accusations ?"

"Dans le cas du match contre Montpellier, on a des accusations qui ont été proférées au beau milieu d'un match. C'est vrai qu'on s'interroge sur cette façon de faire. On se demande pourquoi. Qu'est-ce qui a motivé une personne à prendre le micro et à porter de telles accusations ? Est-ce que cela a été spontané, est-ce que cela ne l'était pas ?"