Stéphane Martin : "Garder Malcom est un signal d'ambition"

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Invité dans l'émission Late Football Club sur Canal + vendredi soir, le Président des Girondins s'est exprimé sur Malcom et le match à venir contre Paris.

Voici ce qu'il a déclaré : 

Sur la prolongation du Brésilien : "C’est un signal d’ambition parce qu’on ne l’aurait pas fait sans le soutien de notre actionnaire car c’était une décision engageante. On a considéré que c’était un joueur jeune, très talentueux et, encore une fois, très intelligent, c’est un garçon bien, donc ça aussi ça compte au moment de faire ce type de pari et donc on s’est dit, après tout, quelles que soient les offres qu’on aura, on aura mieux l’année prochaine. On ne sait jamais, mais c’est un peu le raisonnement que l’on a tenu (...) C’est important pour un club comme nous d’avoir de temps en temps un joueur un peu star (...) On le prolonge pour le garder avec nous un an de plus et ensuite on verra."

Il confirme également que le club détient désormais 100% des droits du joueurs : "Les 50% étaient pour les Corinthians, on avait un accord avec eux pour leur rétrocéder la moitié du produit de la vente éventuelle. On est très contents de l’avoir prolongé, on est sûrs de la qualité et on a payé le juste prix."

Sur les offres reçues cet été : "Sincèrement on a pas écouté les offres on a dit clairement qu’on ne voulait pas le vendre. On a eu deux clubs qui l’ont vraiment approché, essentiellement Wolfsburg et on a pas écouté les offres."

Sur l'importance de Jocelyn Gourvennec dans son choix : "Il a discuté avec Jocelyn, c’est un garçon très intelligent, très malin et effectivement il était très perturbé comme on peut le comprendre, il y avait des propositions salariales conséquentes qui auraient changé sa vie et celle de sa famille, car il y a une famille derrière aussi, donc il est allé voir Jocelyn et il a eu une discussion avec lui."

Enfin, sur le match de Paris, le Président nous parle de M'Bappé : "A titre personnel je suis assez bluffé par M’Bappé. C’était mon premier match en tant que président des Girondins à Monaco donc déjà j’avais pu voir, et je me suis dit, j’espère qu’ils n’en ont pas tous des comme ça."