Daniel Riolo : "Si à Troyes ils perdent, ils vont virer l’entraîneur"

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Dans le sujet sur la défaite des Girondins face à Granville, le journaliste de l'After Foot a élargi le débat sur la situation de Jocelyn Gourvennec et sur la gestion du club en général.

Il déclare :

"Ce qui s’est passé pendant la trêve c’est que, moi je faisais partie de ceux qui pensaient que Gourvennec ne mangerait pas la bûche, ils ont décidé de le garder. Il faut dire aussi que s’ils l’avaient viré, et c’est la situation de beaucoup de dirigeants en France aujourd’hui, c’est que quand tu changes d’entraîneur, tu ne sais pas qui mettre. Après ce 32ème de finale de Coupe de France, Bordeaux va à Troyes pour son prochain match. Si à Troyes ils perdent, ils vont virer l’entraîneur, c’est en gros ce qui commence à se dire au club de façon très sérieuse. Tu le fais parce que tu es au dos au mur et que finalement tu t’aperçois que tu es arrivé au bout du bout du bout mais c’est justement ce qu’il ne faut pas faire, c’est à dire prendre la décision quand tu es au bout du bout du bout parce que tu vas te retrouver avec la même question : « Qui mettre à sa place ? ». J’aimerais bien avoir une idée pour eux mais je ne vois même pas. Peut-être qu’ils vont arriver au bout de la réflexion en se disant que là, ça ne passe pas, Jocelyn Gourvennec n’est pas écouté par les joueurs, il y a un truc qui est cassé, stop (...) Qu’est ce que c’est que cette gestion ? Bordeaux ça fait des années que c’est n’importe quoi."

Il annonce également deux recrues à venir :

"Ils vont recruter, on annonce un défenseur qui va arriver dans les prochains jours. Ils vont prendre un mec devant aussi. Ils sont obligés de bouger là Bordeaux. Ils vont bouger. Bordeaux on le sent depuis un petit bout de temps que ça ne va pas. J’espère qu’ils ont déjà coché des noms. Un défenseur va arriver, un attaquant aussi, on en saura plus demain ou après-demain"

"Ça fait des années que c'est n'importe quoi avec la gestion des Girondins de Bordeaux !" L'analyse alarmiste de l'@AfterRMC sur la crise bordelaise...

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— BFM Sport (@BFMSportTV) 7 janvier 2018