Jaroslav Plasil : “Si on est là, c'est que quelque chose n'a pas fonctionné"

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Le groupe est conscient des choses

Jaroslav Plasil : “Ça a été un peu mouvementé. On a préparé avec le staff les entraînements jusqu'à demain et on prépare le match de Lens qui est très important pour le club et le groupe aussi. Ce n'était pas facile. Avec l'expérience du staff on essaye de faire les bonnes choses et de donner les informations aux joueurs.

Quand on se sépare d'un entraîneur, ses adjoints prennent la suite. Ce n'est jamais évident pour personne. Le groupe est conscient des choses. Nous, on est là pour une mission jusqu'à dimanche et bien préparer les joueurs. C'est ce qui compte pour nous et pour les joueurs. Tout au long de la semaine, il faut faire des choses simples.

Dans la simplicité on peut prendre le plus de confiances. On a essayé de donner beaucoup d'informations aux joueurs. On travaille tous ensemble pour le bien du groupe et des joueurs. Il y a beaucoup d'expérience dans ce staff. On se complète bien je trouve. On fait le maximum pour ce match contre Lens. Il n'y a pas de numéro 1 ou 2, on est ensemble. On va parler et discuter pour le bien de l’équipe et du club."

Opération maintien

“Bien sûr que le danger est là. On est 19e du championnat. Il reste des points à prendre, à nous, au staff, aux dirigeants, aux joueurs de faire le maximum dans sa partie. Si on fait ça, on va s'en sortir. On a une mission jusqu'à dimanche, on a travaillé certaines choses. C'est toute l'équipe qui doit travailler et faire les efforts. Ce sont les joueurs qui prendront les décisions sur le terrain. Chacun dans son rôle.
Proposer du jeu

On a peur, on doute, et on n'est pas en confiance. C'est là où on fait moins d'efforts. C'est difficile à expliquer. Si des gens avaient la solution ils seraient là. Sans confiance, on est en retard dans les duels, on communique moins.Nos joueurs sont capables de faires de bonnes choses. Il faut avoir la volonté de proposer du jeu quand on en aura la possibilité".

Faire bloc au sein du club

La vérité c’est le terrain

“On peut dire plein de choses, c'est le terrain ... je me répète souvent. Le mot de notre mission est le groupe et le club, chacun doit avoir conscience de ça. Il faut amener quelque chose de positif à son copain à côté. On attend tous des choses, il faut l'union de tout le monde. Que tout le monde donne son maximum à tous les niveaux : mentale, technique, tactique et physique. Si on donne tout, il y aura peut-être un résultat au bout”.

Son cas personnel

“Moi je ne suis pas important, ce qui est important est le club. Je ne veux pas parler de moi. Je ne compte pas. On est la pour un match, et faire le maximum. Il y a déjà un capitaine, et une hiérarchie. On va rester sur ce qui a été mis en place. Vous verrez dimanche.”

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