Les raisons de la non-venue de Thierry Henry aux Girondins

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L'Equipe révèle dans son édition du jour les dessous de la non-venue de Thierry Henry aux Girondins de Bordeaux.
Certains disaient qu'Henry demandait trop aux Américains, d'autres que GACP était bien trop avare et refusait catégoriquement que Thierry Henry puisse installer son réseau. L'Equipe nous éclaire ce matin en apportant quelques précisions sur les raisons du volte-face de l'ancien international français.
Le quotidien sportif affirme qu'une méfiance réciproque s'est installée entre les deux parties. GACP a rapidement douté de la fiabilité du candidat Henry compte tenu de son manque d'expérience au poste d'entraîneur. Le fonds d'investissment, representé par Joseph DaGrosa, redoutait aussi un pétage de plombs similaire à celui de Gustavo Poyet lorsque les choses n'iraient pas dans son sens. De son côté, Thierry Henry craignait de ne pas avoir les pleins pouvoirs et surtout de ne pas avoir les garanties sportives qu'il réclamait auprès de GACP. King Street, qui financera GACP, a évidemment eu son mot à dire sur le dossier. Et toujours d'après L'Equipe, les conditions avancées par Henry n'étaient pas du goût des Américains. Enfin, le fait que le Français arrive avec son propre réseau aurait fini de convaincre GACP qu'il ne serait pas l'homme de la situation. En effet, Hugo Varela (conseiller de DaGrosa) aurait mis son veto sur la venue de Thierry Henry aux Girondins. Un trop gros décalage entre les deux parties donc, et ce sont les Girondins qui en pâtissent.
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