Paul Baysse : "Ça n'aura de la valeur que si on fait un bon match face à Brest"

30/11 - 12:37 | Il y a 4 ans
Le vétéran Paul Baysse insiste sur le fait de conserver cette mentalité après la bonne prestation des Girondins face au PSG.
Paul Baysse : "Ça n'aura de la valeur que si on fait un bon match face à Brest"

© Iconsport

Auteur à nouveau d'une prestation solide en charnière centrale au côté de son capitaine Laurent Koscielny, Paul Baysse a tiré en après-match un bilan de ces deux dernières rencontres face à des "gros" du championnat :

"On est un peu partagé dans notre état d’esprit. On est relativement content de la prestation. On a réussi à ouvrir le score, à Paris ce n’est pas simple. On est déçu parce qu’on prend deux buts très rapprochés en l’espace de deux minutes. Mais après on fait preuve d’un bel état d’esprit et on revient à 2-2. On a même l’opportunité je pense de l’emporter sur la fin du match. C’était un match un peu « fou ». Donc voilà, il y a un côté de nous qui nous dit que c’est bien, c’est un bon point. Ça confirme aussi notre bonne prestation à Rennes. Mais un il y un autre côté de nous qui nous dit qu’on aurait pu espérer mieux et prendre les trois points ici. Mais si on prend les deux derniers matchs, ça fait quatre points sur six face à deux gros adversaires à l’extérieur. Donc c’est bien mais ça n’aura de la valeur que si on fait un bon match chez nous contre Brest."

"Rien lâcher jusqu'à la trêve"

"Ça nous montre surtout qu’on est capable de faire de ce genre de prestations et d’avoir un bon état d’esprit. On se l’est dit après Rennes, ça doit être notre base. On a prouvé ce soir que quand on prend un but on est capable de revenir. Donc c’est vraiment une bonne chose, on est quand même satisfait. Mais voilà, il y a encore du travail, il faut continuer. Tout n’a pas été parfait. On n’a pas la maîtrise du ballon, face au PSG ce n’est pas simple. Mais on travaille. Et je pense qu’on est récompensé du travail qu’on effectue au quotidien. Faut continuer, faut rien lâcher jusqu’à la trêve."

La réaction de Benoît Costil