Girondins. Bruno Fievet : "Oui, j'ai un projet de reprise"

07/08 - 18:07 | Il y a 2 mois
Invité d'Alain Bauderon dans l'émission Bordeaux Le Mag, l'homme d'affaires Bruno Fievet a dévoilé qu'il avait un projet de reprise des Girondins de Bordeaux. Il faut aussi son mea culpa concernant sa participation au Comité 1881.
Girondins. Bruno Fievet : "Oui, j'ai un projet de reprise"

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"Les conditions de reprises aujourd'hui sont inacceptables"

Bruno Fievet dans Bordeaux Le Mag : "Oui, j'ai un projet de reprise, pas sous n’importe quelles conditions. Celles d'aujourd'hui sont inacceptables. On ne peut pas payer 9M€ de plan social, plus 30M€ de dette, ni en National 2 ou National 1 ou avoir un retour à meilleure fortune.

Je n'irai pas dans un projet ou il y a des gens comme Pascal Rigo, car on ne s'entend pas assez. Soit j'irai dans un projet qui m'appartient, soit je n'irai pas."

"Je ne vois pas comment le club serait viable en National 2"

"Si l’appel n’est pas entendu et que l'on reste en National 2, je pense que la seule issue serait la liquidation judiciaire. Il faudra la prononcer très rapidement pour repartir dès cette année en R1 ou en National 3. Je ne vois pas comment le club serait viable en National 2."

"Je n'aurai certainement pas du faire partie du Comité 1881"

Il termine : "Je n'aurai certainement pas du faire partie du Comité 1881 parce que ce n'était pas quelque chose de bien. J'avais d'autres ambitions. J'ai discuté deux fois avec Gérard Lopez pour prendre la présidence déléguée, mais au final il n'a jamais eu l'intention. J'ai été certainement un peu naïf. Le résultat est que cela a été un échec. Que mon nom soit cité dans les gens qui ont fait des erreurs, je peux l'entendre et je m'en excuse. Mais cela ne m'empêchera pas de continuer à œuvrer pour le club."

"Tant que Gérard Lopez est là, jamais je ne reprendrai des places"

"Je suis partenaire des Girondins. Je paye des places en tant que partenaire. Tant que Gérard Lopez est là, jamais je ne reprendrai des places. Il doit partir maintenant. Chaque jour qui passe est un jour perdu pour la reconstruction d'un nouveau projet. Il doit considérer que son projet est un échec total et qu'il n'a plus sa place aux Girondins de Bordeaux (...) Il ne peut pas demander un retour à meilleure fortune."

Podcast court à écouter :

 

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