Girondins : Yoann Barbet et ses anecdotes à QPR et Bolton

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“The warrior”
Le défenseur central bordelais a enchaîné 98 matchs avec le QPR en Championship (D2 anglaise), en ne ratant que 2 matchs pour atteindre la barre des 100 rencontres, il témoigne dans So Foot :
“Malheureusement, je n’ai pas réussi à aller jusqu’à 100, le coach m’a mis sur le banc pour un match où je n’ai pas pété un câble, mais presque (...) J’ai même joué avec une petite fracture de la clavicule pendant quatre matchs, on me faisait une piqure d'antidouleur pour ne pas que je sente mon épaule. Sur un ou deux matchs, c’était dur, j’ai serré les dents.”
C’est l’un de ces matchs qui a fait donner le surnom de “warrior” à Yoann Barbet. En effet, lors d’une rencontre face à West Bromwich Albion, il se retrouve avec une plaie ouverte, suite à un choc violent contre l’attaquant de l’équipe adverse. Le Girondin, malgré un saignement dépassant le bandage que l’équipe lui avait fait, continue le match :
“J’avais huit ou neuf points de suture. Je ne voulais pas mettre fin à ma série à cause de ça. On a fait les tests avec le médecin, tout était bon, je suis retourné sur le terrain avec un gros bandage, mais le sang coulait quand même au travers. Au bout de cinq secondes, j’ai remporté un duel face au même attaquant, et tout le monde s’est un peu enflammé. Ce surnom est resté et j’ai une ou deux photos sympas de ce match-là.”, affirme-t-il.
Une situation surréaliste
L’article de SO FOOT revient sur une anecdote de Yoann Barbet, lors d'un entretien avec Coparena. Ce dernier raconte la fois où il a marqué un coup franc à Bolton alors qu’il était à Bordeaux le matin même :
:fire: Le jour où @BarbetYoann s'est retrouvé "in the zone"... Ca peut vraiment arriver n'importe quand, même quand on ne s'y attend pas !
— Coparena (@coparenamedia) December 30, 2020
:studio_microphone:️L'entretien complet :point_right: https://t.co/gqoCIMQyXj pic.twitter.com/crnzFmREWQ