Pierre Hurmic : "Je veux me faire porte-parole de ce malaise"

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Le maire de Bordeaux est intervenu, dans l'émission Team Duga, sur le conflit entre les Ultramarines et le président des Girondins, Frédéric Longuépée. Il a également émis le souhait de rencontrer le représentant local de King Street. Extraits.

Rencontrer King Street

"Je pense que pour King Street aux États-Unis, les Girondins de Bordeaux c'est peanuts, que le maire de Bordeaux c'est vraiment peanuts. Je pense que dans un premier temps, il représente pour eux local qui s'appelle monsieur Ehrmann, que je ne connais pas. Donc je vais demander à le rencontrer très rapidement pour voir s’il y’a moyen d’avancer. D’abord sur ses intentions sur le devenir du club : est-ce qu’il est en vente comme certains le disent, est-ce qu’il y’a le risque de dépôt de bilan comme d'autres le disent ? Je pense que j’obtiendrai des informations de la part de monsieur Ehrmann."

Le départ de F.Longuépée

"Je continuerai de demander le départ de Longuépée oui. Sauf s’il m'apporte les assurances qu'il y a un nouveau Longuépée qui existe. Et si c'est pour remplacer Longuépée par un Longuépée bis je ne veux pas. Je ne veux pas personnaliser autour de la personne de monsieur Longuépée. Je ne veux pas qu'on me dise ok monsieur Longuépée partira, mais on vous mettra un autre qui sera un Longuépée bis. Je veux avoir les assurances qu'ils mettent un président du club qui n'a pas l'arrogance qu’a monsieur Longuépée vis-à-vis des supporters.""

Porte-parole du malaise

"Je veux un président qui ne commette pas les mêmes maladresses que monsieur Longuépée. Je ne veux pas donner l'impression du nouveau maire qui commence à couper les têtes. Actuellement j'entends la revendication des Ultramarines qui disent « ça suffit il nous a assez maltraités on veut son départ ». Je me faire un peu le porte-parole de ce malaise. Un actionnaire comme King Street ne veut pas se payer le luxe de se mettre à dos les supporters du club et le maire de la ville."

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