Vanessa Gilles : "Le second but ? Ce n'est pas la faute d'une personne en particulier"

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En zone mixte, Vanessa Gilles est revenue sur son erreur sur le deuxième but du Paris Saint-Germain.

Elle a également évoqué sa première convocation avec l'Equipe de France : "C’est aussi ça le football, tu peux avoir des occasions et ne pas marquer. Tout comme avoir une occasion et marquer. Mais d’un côté, on a plutôt bien joué, on a réussi à combiner et on a eu nos occasions. Ce n’est pas passé cette fois-ci, on continue d’apprendre et ça va nous servir pour le prochain match. Metz et le Paris FC, des accidents ? Oui c’était un peu le cas, on apprend aussi de ça. Il était temps de revenir et montrer que Bordeaux ça peut jouer. On n’a pas eu le résultat en notre faveur, mais on a su le montrer. On va se préparer pour le prochain match en essayant de mettre la même intensité qu’aujourd’hui. Si on avait sombré, cela aurait été forcément en notre défaveur. Il faut toujours avancer et c’est ce qu’on a fait. Le deuxième but ? Comme je le dis, c’est le foot. On apprend aussi sur ce genre d’erreur. Ce n’est pas la faute d’une personne en particulier, c’est avant tout un collectif. Sélectionnée avec les Bleues ? C’est super, c’est ma première sélection, je suis super excitée. J’y serais avec certaines coéquipières aussi. Cela va permettre de se jauger avec d’autres joueuses aussi et se mesurer aux autres joueuses des autres pays. Le Canada ou la France ? Ce n’est pas encore un match officiel, j’ai encore le choix. Comme je vous l’avais dit la dernière fois, les deux pays je ne peux pas choisir. Je ne peux pas vous donner la réponse maintenant, il y a encore beaucoup de facteurs à prendre en compte. C’est un honneur d’être appelé par la France. Cela veut dire beaucoup, qu’ils me font confiance. Les 10 premières minutes ? On a mis du temps à comprendre dans quel système Paris allait jouer. Une fois qu’on a pu s’organiser, cela s’est mieux passé. On a pu régler les problèmes du début de match. Quand on a commencé à les presser, elles n’avaient pas le ballon tout le temps. L’ambiance ? Oui cela nous a fait du bien. On était parti pendant cinq jours, c’était difficile surtout quand on perd, car on n’est pas à la maison. Il y avait une vraie différence entre le match d’aujourd’hui et ceux qu’on a joués la semaine dernière".