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L’or franchit les 100 000 € le kilo : un placement refuge qui séduit de plus en plus à Bordeaux

L’or, valeur refuge intemporelle

Depuis toujours, l’or joue un rôle unique dans le système financier. Contrairement aux devises ou aux actions, il n’est ni soumis aux décisions politiques ni exposé aux faillites d’entreprises. Dans une période d’incertitude, il attire logiquement les investisseurs.

« L’inflation persistante, la hausse des taux d’intérêt et les tensions internationales poussent les épargnants à rechercher un actif tangible et stable. L’or s’impose naturellement ce qui explique la hausse du cours de l'Or », explique RAFIK MAKHLOUF, fondateur de GOLDMARKET, réseau spécialisé dans l’or d’investissement.

Le lingot d’un kilo, un symbole de stabilité

Le produit emblématique du moment est sans surprise le lingot d'Or 1kg, désormais valorisé au-dessus des 100 000 €. Recherché dans le monde entier, il reste un placement prestigieux et facilement revendable.

Mais investir dans l’or n’est pas réservé aux gros portefeuilles. « Nous proposons aussi des pièces d’investissement, accessibles dès quelques centaines d’euros. C’est une manière simple et progressive de diversifier son patrimoine », précise un conseiller de l’agence GOLDMARKET BORDEAUX.

À Bordeaux, un engouement croissant

Située en plein centre-ville de Bordeaux, l’agence GOLDMARKET BORDEAUX attire de plus en plus d’investisseurs locaux. Retraités souhaitant protéger leur capital, jeunes actifs désireux de diversifier leurs placements, ou encore chefs d’entreprise en quête d’une valeur refuge : les profils sont variés.

« Nous accompagnons des Bordelais qui veulent sécuriser une partie de leur épargne et préparer l’avenir. L’or est perçu ici comme une assurance patrimoniale », confie l’équipe bordelaise.

Une tendance de long terme

Pour les experts, l’or doit être envisagé dans une logique patrimoniale et non spéculative. « Il s’agit d’un actif stratégique, capable de protéger contre l’inflation et de se transmettre aux générations futures », rappelle RAFIK MAKHLOUF.

À Bordeaux comme ailleurs, la prudence et la diversification guident les choix des épargnants. Et le franchissement du seuil des 100 000 € le kilo ne fait que confirmer une tendance de fond.

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