Jonathan D’Agostino : "Benoît Costil, il s'est investi malgré tout"

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Jonathan D’Agostino : “Costil moi, c’est l’un des rares que je n'ai pas envie de fracasser cette saison. Déjà, il perd le brassard, tu sens qu’avec Gasset ça n’a pas été le grand amour d’entré. Mais il a quand même fait son travail, il a quand même été professionnel, même si au départ, tu sentais un petit froid avec Gasset. Tu sens quand même qu’il s'est investi malgré tout.

J’aimais bien, ses réactions par moment, notamment contre Dijon où l’on prend le but à la fin, c’est l’un des rares à gueuler à dire : “Les gars, on ne doit pas prendre de but sur ce match-là ”, contre Saint-Étienne où l’on perd trois ou quatre à un, à un moment donné, il dit : "lui, il fait trop le malin, il faut le fracasser”. Tu vois que lui, il avait quand même des réactions.”

“C’est notre force, c’est le rempart le plus régulier”

“C’est le seul joueur qui a un niveau international actuellement dans l’effectif. Il a tenu son rang, il a parfois été même abandonné par sa défense. Mais je n’oublie pas les matchs à Paris, contre Rennes, première seconde, Rennes a une grosse occasion, il nous gagne un face-à-face qui permet de gagner un match, alors que l’on fait un match très compliqué. Il le gagne pratiquement tout seul. Il a quand même rapporté des points malgré tout.

Samuel (NDLR Vaslin) parlait de joueur fort défensivement, c’est notre force, c’est le rempart le plus régulier et le meilleur en défense. Au départ en plus, on avait pas mal de clean sheet, on avait même le record à un moment donné. Après la deuxième partie de saison, on sait ce qu’il s'est passé, mais ça montre bien que le gardien est bien présent et bien au niveau.”

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